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Vivreau XIXe siècle : un monde qui change. Fiche de préparation (séquence) pour le niveau de 4ème. L'objectif de cette séquence est "Connaître les caractéristiques de la nouvelle. Découvrir les auteurs du XIXe siècle. Lire efficacement en consolidant sa culture littéraire. Améliorer son lexique. S'exprimer à l'écrit pour raconter, décrire, expliquer ou argumenter de façon
représentantune tête de bécasse, 4 illustrations dans le texte. Broché (plaquette) Avant-propos + 4 chapitres : I Généralités (Les époques propices - les passages, notions scientifiques, description, habitat, reproduction, la bécasse sur la table) II La chasse de la bécasse en général (généralités [ le chien, le fusil et les
Cetarticle réfléchit à la pratique et à l’ambition du recueil chez Octave Mirbeau. Loin d’être un bric-à -brac conjoncturel et commercial d’articles et de contes selon les pratiques de la Belle Époque, le recueil fait l’objet chez Mirbeau d’expérimentations poétiques comme le montre le double essai des Lettres de ma chaumière (1885) et des Contes de la chaumière (1894).
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Lescontes de la bécasse de Maupassant (fiche de lecture et analyse complète de l'oeuvre) - Venez découvrir Les Contes de la bécasse de Maupassant grâce à une analyse littéraire de référence ! Écrite par un spécialiste universitaire, cette fiche de lecture est recommandée par de nombreux enseignants. Cet ouvrage contient la biographie de l'écrivain, le résumé détaillé, le
Site De Rencontre Non Payant Gratuit. Bonjour, Voici un résumé de l’Iliade et de l’Odyssée que j’ai conçu pour éventuellement servir à un questionnement ou comme base de départ pour une recherche. L’ ILIADE I Les origines de la guerre de Troie Troie Ilion en Grec était une cité d’Asie Mineure Turquie aujourd’hui gouvernée par le roi Priam. Celui-ci avait appris que son fils cadet Pâris serait responsable de l’incendie de Troie. Il décida de l’abandonner dès sa naissance dans la nature en espérant qu’il serait dévoré par une bête féroce. Mais Pâris survécut et devint un beau jeune homme… La déesse Discorde, qui n’avait pas été invitée aux noces de Pélée et Thétis, décida de se venger en lançant une pomme d’or parmi les invités en criant à la plus belle ! ». Les déesses Héra, Athéna et Aphrodite déclarèrent chacune qu’elles en étaient dignes. Zeus, ne voulant pas prendre le risque de les départager, leur dit de descendre sur Terre et demander son avis au très beau mortel Pâris. Héra lui proposa le pouvoir royal, Athéna la sagesse et la victoire au combat et Aphrodite d’épouser la plus belle des femmes, Hélène. Pâris offrit la pomme à Aphrodite et provoqua la colère des deux autres déesses. Plus tard il revint à Troie et fut reconnu par son père Priam. Hélène était l’épouse du roi Achéen Grec Ménélas de Sparte. Au cours d’une visite, Pâris brisa les lois de l’hospitalité et enleva Hélène pour la ramener à Troie. Tous les rois grecs, qui avaient juré de protéger Hélène, décidèrent de partir en guerre contre Troie pour venger Ménélas. Certains ne voulaient pas y participer -Ulysse d’Ithaque ne voulait pas partir en laissant son épouse Pénélope et son jeune fils Télémaque il fit semblant d’être fou et laboura ses champs en y semant du sel ! Il dut s’arrêter quand un Grec déposa son fils devant sa charrue… -le demi-dieu Achille à qui on avait prédit une vie courte mais glorieuse, se déguisa en femme, Pyrrha, sur le conseil de sa mère la déesse Thétis. Mais il fut irrésistiblement attiré par les armes qu’Ulysse avait apportées pour le démasquer ! Les Grecs ou Achéens choisirent comme chef le frère de Ménélas, le roi Agamemnon de Mycènes. Celui-ci ayant manqué de respect à la déesse Artémis en tuant une de ses biches favorites, celle-ci interdit aux vents de souffler et la flotte grecque ne put partir. Agamemnon dut sacrifier sa fille Iphigénie pour apaiser Artémis qui libéra les vents et remplaça au dernier moment Iphigénie par une biche. Les Grecs avaient dans leurs rangs des guerriers exceptionnels -Achille, d’une force surhumaine et invulnérable sauf au talon, et son ami Patrocle -Ajax dont les colères étaient redoutables -Diomède pratiquement invincible -Ulysse déjà célèbre pour son intelligence Les Troyens n’étaient pas en reste avec Hector frère de Pâris invincible sauf face à Achille et le demi-dieu Enée fils d’Aphrodite. II Les récits de l’Iliade L’Iliade raconte un épisode de la guerre de Troie, la Colère d’Achille. Les Grecs font le siège devant la ville depuis déjà 10 ans sans résultat ! Agamemnon reçoit comme part de butin Chryséis fille d’un prêtre d’Apollon. Le dieu se met en colère et envoie la peste chez les Grecs. Agamemnon est donc forcé de rendre à son père Chryséis mais demande en échange à Achille sa captive Briséis. Furieux, Achille se retire dans sa tente et refuse de participer aux combats. Il prie même pour que les Grecs soient vaincus par les Troyens. Effectivement sans lui les Grecs se font battre par Hector et les Troyens. On décide de mettre fin à la guerre par un duel à mort entre Ménélas et Pâris, mais Aphrodite intervient en enlevant Pâris sur le point d’être vaincu la trêve est brisée et la guerre reprend, toujours sans Achille ! Les Grecs s’en sortent temporairement grâce à Athéna, puis doivent faire retraite. Le camp grec et la plupart des bateaux sont incendiés. Patrocle persuade son ami Achille de lui prêter ses armes pour redonner courage aux Grecs, mais se fait tuer par Hector qui le dépouille de son armement. Achille fou de douleur décide de se venger en reprenant le combat, et Thétis lui fait fabriquer par Héphaïstos une armure et un bouclier exceptionnels. Il se livre à un véritable carnage dans les rangs des Troyens et tue Hector après l’avoir poursuivi autour des murailles de Troie. Puis il lui enlève toutes ses armes et le traîne derrière son char devant les remparts de Troie. Priam réussit à récupérer le corps de son fils Hector en calmant la fureur d’Achille. Ainsi s’achève l’Iliade. D’autres légendes affirment qu’Achille fut tué d’une flèche tirée au talon par Pâris ou Apollon et que Pâris fut tué plus tard à son tour par une flèche. Ulysse raconte dans l’Odyssée l’épisode du cheval de Troie. Les Grecs firent semblant de partir en laissant derrière eux un immense cheval de bois conçu par Ulysse et offert à Poséidon. Les Troyens le firent entrer dans leur ville et à la nuit tombée les guerriers grecs cachés à l’intérieur en sortirent et ouvrirent les portes de la ville au Grecs qui étaient revenus entre temps. Les Troyens furent massacrés ou réduits en esclavage, la ville incendiée. Seul Enée réussit à s’enfuir avec quelques compagnons, mais ceci est une autre histoire… Le retour des héros grecs dans leurs cités fut souvent mouvementé -l’Odyssée d’Ulysse dura 10 ans ! -Agamemnon fut tué par son épouse Clytemnestre qui avait un amant; celle-ci fut assassinée à son tour par son fils Oreste qui se creva les yeux devant l’horreur de son crime. L’ODYSSEE L’Odyssée doit son nom au héros dont elle raconte les aventures, Ulysse, Odysseus en grec. Les navires d’Ulysse et de ses compagnons, séparés du reste de la flotte grecque par une tempête, arrivèrent d’abord dans la ville des Cicones qu’ils attaquèrent sans raison. Pour les punir Poséidon fit dériver les bateaux vers un monde peuplé de monstres et de sorcières. Ulysse parvint au pays des Lotophages qui donnèrent à manger aux hommes, envoyés comme éclaireurs, des fleurs de lotus qui ont la propriété d’effacer la mémoire. Il fallut les transporter de force sur les bateaux. Leur voyage les mena ensuite sur l’île des Cyclopes, monstres à un seul œil vivant dans des cavernes. Emportant du vin, Ulysse partit explorer l’île avec quelques-uns de ses compagnons. Dans une grotte, il trouva des signes d’élevage. N’écoutant pas les conseils de son équipage, il insista pour attendre le retour du berger. Le cyclope Polyphème, rentrant avec son troupeau de moutons, une fois arrivé dans la grotte, bloqua l’entrée avec un énorme rocher. Il découvrit les Grecs, en dévora deux en guise de dîner et deux autres au petit déjeuner. Les Grecs ne pouvaient s’échapper parce que seul le Cyclope avait la force de déplacer le rocher. Mais Ulysse imagina un plan il fit boire le Cyclope jusqu’à l’ivresse et quand celui-ci lui demanda son nom, il répondit Personne ». Alors que le Cyclope cuvait son vin, Ulysse l’aveugla en lui plantant dans l’œil un épieu durci au feu. Polyphème cria de douleur et appela à l’aide. Les autres Cyclopes accoururent et lui demandèrent qui l’avait agressé. L’entendant répondre Personne », ils repartirent, convaincus que tout allait bien. Ulysse attacha alors chacun de ses hommes sous un mouton et se cramponna lui-même au ventre d’un bélier. Quand, au matin, le Cyclope aveugle laissa sortir son troupeau, les Grecs purent ainsi s’enfuir. De son bateau, Ulysse se moqua du Cyclope en disant qu’il s’appelait en réalité Ulysse. Ceci valut à Ulysse dix ans de plus de voyages sur les mers car Polyphème était le fils de Poséidon. Les marins arrivèrent ensuite chez Éole, gardien des Vents. Il remit à Ulysse une outre contenant les vents qui permettraient aux bateaux de revenir enfin à l’île d’Ithaque. Mais le héros s’étant endormi, ses hommes ouvrirent le sac, pensant qu’il contenait un trésor. Les vents s’échappèrent et provoquèrent une tempête qui ramena les voyageurs chez Éole, et de là au pays des Lestrygons, géants cannibales qui détruisirent tous les bateaux d’Ulysse – sauf un – et dévorèrent ses équipages. L’épisode suivant se déroule dans l’île de la magicienne Circé. Se cachant dans un bois, la moitié de l’équipage d’Ulysse s’approche du palais de Circé, autour duquel des renards, des ours et des lions jouent comme des animaux apprivoisés. Circé invite les hommes à entrer et leur donne une boisson mêlée de drogue puis les métamorphose en porcs et les enferme dans une porcherie. Un seul homme, resté à l’extérieur, rapporte le désastre à Ulysse. Avec l’aide d’Hermès et d’une plante magique qui l’immunise contre les charmes de Circé, Ulysse oblige celle-ci à libérer ses hommes. L’équipage reste un an à festoyer sur l’île, puis Circé donne à Ulysse des conseils pour continuer son voyage. Il lui faut d’abord se rendre aux Enfers pour consulter le devin Tirésias sur le moyen de rentrer chez lui. Il discute sur place les ombres de ses parents morts, ainsi que celles d’Hector et Achille qui regrette finalement d’être mort si jeune. Il offre un sacrifice à Poséidon pour essayer de le rendre moins sévère. Des Enfers, Ulysse gagne les parages de l’île des Sirènes, monstres au corps d’oiseau et à tête de femme qui, par leurs chants irrésistibles, provoquent la mort des marins qui se jettent à l’eau pour les rejoindre. Alors que ses marins continuent à ramer, les oreilles bouchées par la cire d’abeille, comme Circé le lui a suggéré, Ulysse, désireux d’entendre le chant des sirènes, se fait attacher au mât de son navire. Le héros et son équipage passent ensuite entre deux monstres marins, Charybde un tourbillon gigantesque et Scylla monstre marin à six têtes, et parviennent enfin à Thrinacie, l’île du Soleil. Circé leur avait recommandé de ne pas manger les bœufs du Soleil mais l’équipage affamé ne peut résister à l’envie de tuer les bœufs. La chair rôtie continue à beugler même sur la broche et les peaux des bœufs rampent comme s’ils étaient en vie. Le Soleil furieux détruit le bateau et tout l’équipage sauf Ulysse qui survit au naufrage et échoue sur l’île de Ogygie où vit Calypso. Celle-ci l’oblige à l’épouser et le garde huit ans dans une grotte en lui proposant l’immortalité. Mais Ulysse finit par se rappeler grâce à Athèna que son épouse Pénélope est la seule femme qu’il aime vraiment. Il construit avec l’aide de Calypso à qui les dieux ont ordonné de laisser repartir Ulysse un radeau qui lui permet d’arriver au pays des Phéaciens, où il est recueilli nu et sale par la fille du roi Alcinoos, la belle Nausicaa qui soupçonne que ce n’est pas un étranger comme un autre. Une fête est organisé en son honneur par Alcinoos, où il révèle qui il est, et raconte la fin de la guerre de Troie ainsi que toutes ses aventures. Alcinoos renvoie Ulysse chez lui dans un bateau magique chargé de présents. Enfin rentré à Ithaque, Ulysse gagne son palais sous l’apparence d’un vieillard mendiant grâce à Athéna et retrouve sa femme Pénélope et son fils Télémaque menacés par des prétendants au trône d’Ulysse, absent depuis 20 ans et que tout le monde, sauf sa femme et son fils, croit mort. Son vieux chien Argos le reconnaît et meurt d’émotion ; Télémaque l’accueille aimablement sans se douter qu’il s’agit de son père. L’ancienne nourrice d’Ulysse le reconnaît grâce à une ancienne cicatrice et manque de révéler son identité. Pénélope avait toujours refusé de croire à la mort d’Ulysse et essayait de tenir les prétendants à distance par des ruses elle leur avait promis qu’elle épouserait l’un d’entre eux lorsqu’elle aurait terminé une tapisserie qu’elle défaisait en partie tous les soirs. Malheureusement une servante révéla le stratagème aux prétendants. Elle organisa alors un concours consistant à tendre l’arc d’Ulysse et à atteindre une cible, le gagnant étant celui qui l’épouserait. Ulysse révéla la vérité à Télémaque et entra dans la salle du banquet où presque tous les prétendants se moquèrent de lui… Aucun ne réussit à tendre l’arc. Au moment d’essayer à son tour Ulysse jeta à terre ses haillons de mendiants tout en reprenant son apparence normale, gagna le concours et tua les prétendants jusqu’au dernier. Il retrouva enfin Pénélope après vingt ans d’absence 10 ans de Guerre de Troie + 10 ans d’Odyssée ! Bon courage si vous avez réussi à tout lire d’une traite !
La Boîte à Merveilles Résumé chapitre par chapitre Chapitre I L'œuvre s’ouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte décrit son présent où un sentiment de solitude, très ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. Sans plus de détails, il décrit ce qu’il voit des souvenirs un enfant de six ans lui-même qui joue et essaie d’attraper un moineau qui ne vient jamais. Sa solitude alors l’accompagne depuis son enfance! Du pronom je» le narrateur passe à employer le pronom collectif nous» pour parler aussi de ses parents, il présente d’abord la Chouafa en évoquant ses fêtes, elle occupait le rez-de-chaussée, puis les autres voisins Driss El Aouad, sa femme Rahma, leur fille Zineb, et Fatma Bziouya. Il explique ensuite pourquoi il n’avait pas d’amis. Il parle aussi de son attente de grandir pour faire ce qu’il voudrait. Le narrateur évoque également le Msid, le fqih, avant de parler du bain maure, qu’il n’aime toujours pas. Vient alors une description des objets de la Boîte à Merveilles et la relation que l’enfant entretenait avec eux, ils lui portent secours dans les heures de chagrin. La mère du narrateur, comme il la décrit, avait des talents dans l’art de raconter et imiter les personnages de ses récits. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mère et Rahma, la voisine, un bien long récit qui se clôt sur l’évanouissement du narrateur. [p-p 3-19] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre II C’est le mardi, jour redouté des élèves du msid. La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid. A la maison, l’enfant trouve que sa mère souffre d’une terrible migraine elle a mal à la tête. Une ancienne voisine, Lalla Aïcha, vient lui rendre visite, elle lui indique un fqih pour se débarrasser de ses maux physiques et moraux. Face à la pâleur de l’enfant que la mère explique par le mauvais œil, alors qu’en réalité c’était à cause de la peur de la baguette du cognassier s’il ne récite pas bien l’après-midi et la maladie de la mère, Lalla Aïcha trouve un autre conseil aller à Sidi Ali Boughaleb, le mausolée. La mère du narrateur hésite un peu, puis finit par accepter sous l’insistance de la visiteuse. La femme souffrante s’apprête à sortir, le narrateur nous présente une description de ce qu’il garde encore sur l’ancienne voisine. Une longue description de chemin vers le mausolée, des lieux à côté, puis de l’intérieur de ce lieu sacré, la scène des femmes qui demandent de l’aide à ce saint, avant de raconter leur dialogue avec la Moqadma et sa série d’invocation. Cette scène se termine par un drame l’enfant reçoit un magistral coup de griffe d’un chat qu’il voulait caresser il y a beaucoup de chats dans ce mausolée, il pleure alors jusqu’à son arrivée à la maison. Le lendemain, l’enfant ne va pas au msid. Il décrit le début d’une journée ordinaire dans la maison de la voyante, où la vie commence à flâner rapidement le matin, de chambre en chambre. Le narrateur nous raconte comment son père est devenu tisserand après avoir quitté son village situé à une cinquantaine de kilomètres. Cet homme sort très tôt et ne revient qu’après la dernière prière, il mange à l’atelier. Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, l’ouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le déjeuner de son patron le père du narrateur. Le petit aide sa mère à écosser des fèves, besogne qu’il n’a pas trop aimée, il va donc chez Fatma Bziouya qui roulait du couscous, elle lui tend un radis, mais n’en ayant pas aimé le goût, l’enfant monte sur la terrasse et le jette par-dessus le mur. En redescendant, il rencontre Rahma à laquelle sa mère n’a adressé aucun mot depuis leur querelle à cause du linge qui lui offre un cabochon, un nouveau bijou qu’il ajouterait aux objets de sa Boîte à Merveilles. [p-p 20-39] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre III Après les deux jours et demi de repos, Sidi Mohammed revient au msid vendredi après la prière de midi. Le fqih ne peut résister au sommeil, il se réveille de temps à autre et distribue au hasard des coups de baguette. Les enfants sont libérés le soir après les rituels de coutume. A la maison, le narrateur joue avec ses objets de la Boîte à Merveilles, surtout le cabochon que lui avait offert Rahma. Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida découvre la lampe à pétrole, elle est éblouie de son pouvoir! Après le dîner, elle déclare alors de manière indirecte, devant le père du narrateur, qu’elle aussi désire une lampe à pétrole. Le lendemain, au retour du msid, l’enfant en trouve une accrochée au mur, sa joie est partagée avec tante Kanza, la chouafa, qui monte pour admirer la nouvelle acquisition. Le même jour, Rahma a perdu sa fille Zineb au milieu de la foule en route vers un baptême. Zoubida raconte les détails de ce drame au père, après le dîner, et comment, accompagnée de Fatma Bziouya, elle a pu la trouver à la maison des Idrissides Dar Kitoun. Jeudi suivant, pour remercier Dieu, Rahma organise un repas pour les pauvres. Le narrateur décrit les préparations des femmes de la maison pour la fête, et comment cette dernière s’est déroulée. Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir l’enchantement désiré, il se met à pleurer. [p-p 40-55] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IV Sidi Mohammed et sa mère, dans les premiers jours du printemps, rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans l’impasse de Zankat Hajjama. Le narrateur décrit la maison de l’ancienne voisine. Il évoque les sujets de la discussion des deux femmes, c’est une occasion pour décrire les parents de Sidi Mohammed. Le héros raconte ensuite le récit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de présenter la description des voisines de Lalla Zoubida. Le mari de Lalla Aïcha arrive, sa femme le rejoint dans la chambre. Le narrateur insère ensuite un récit raconté par une voisine de Lalla Aïcha une mise en abyme et qui était inachevé. L’amie de la mère, revenue de sa chambre, raconte à voix basse, en pleurant, les ennuis de son mari. Lalla Zoubida la console comme une grande sœur. Le soir, Si Abdeslam vient chercher sa femme et son fils, et les trois membres de la famille reviennent chez eux. Après le dîner, la mère raconte au père le drame de Moulay Larbi avec son associé Abdelkader, qui a nié tout ce que son patron avait fait pour lui venir en aide. Le narrateur relate ensuite un discours du père sur Abdallah l’épicier. [p-p 56-77] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre V Ce mercredi, la baguette n’est plus qu’un objet pour occuper les doigts du fqih! il annonce aux élèves comment ils devraient se préparer pour Achoura. Revenu à la maison, l’enfant a peur car il est seul, sa mère était sortie avec Lalla Aïcha avant son arrivée. Rentrée chez elle, Lalla Zoubida raconte à Fatma Bziouya, puis à Rahma la perte de Zineb était une occasion pour la réconciliation des deux femmes les soucis de Lalla Aïcha elle a vendu ses bijoux et les meubles de son ménage pour aider son mari à ne pas perdre son atelier et garder son travail de babouchier. Soudain, des cris déchirent le silence, c’est à cause de la mort du coiffeur Sidi Mohammed Ben Tahar. Le narrateur nous présente alors la scène des pleureuses, suivie de l’arrivée des psalmistes. Il décrit ensuite les rituels des cortèges d’enterrement. On lit également l’histoire de Sidi j’en ai oublié le nom avec le cadavre sur la civière sans cortège. L’enfant reçoit une nouvelle merveille, c’est une chaîne que sa mère lui avait donnée. Après l’avoir transformée, en la nettoyant, en or pur, le chat de Zineb la vole et prend la fuite! une bataille acharnée a lieu alors entre Sidi Mohammed et la fille de Rahma. [p-p 78-98] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VI Les préparatifs de la fête d’Achoura commencent. La salle du msid est nettoyée, les nattes remplacées, les murs badigeonnés. Pour ce travail, le maître forme des équipes, mais à cause du désordre fait par les enfants, la tache accomplie ce jour-là était seulement passer les murs au lait de chaux. Le lendemain, encore des équipes, Sidi Mohammed est nommé alors chef des frotteurs ! Pour les élèves, c’est une occasion pour éviter les leçons et les récitations. Le narrateur revient chez lui tout fier de sa journée. Le matin suivant, la mère empêche l’enfant d’aller au msid, il doit l’accompagner à la kissaria pour acheter de nouveaux habits, il est donc si heureux qu’il pardonne à tout ce qui était source de malheur pour lui! Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de Lalla Aïcha et entame avec elle une longue conversation sur l’affaire Moulay Larbi. Le narrateur nous rapporte ensuite la scène de marchandage pour l’achat du gilet. Lalla Zoubida a failli oublier la satinette que lui avait demandée Kanza en partant de chez elle, son fils lui rappelle cette commande. Quand les deux personnages sont revenus à dar chouafa, Rahma les invite un instant, le narrateur nous décrit la chambre de cette voisine. Après une nouvelle dispute avec Zineb, l’enfant plonge dans ses rêveries, sa mère l’en repêche pour manger. Un chant commence sur la terrasse, c’est Lalla Khadija, une jeune fille qui a épousé un vieillard qui s’appelle oncle Othman. Sa chanson donnera naissance à un long dialogue entre les femmes de la maison, dont l’élément principal est le récit d’un événement qui fait rire raconté par Rahma à propos de l’oncle Othman et sa jeune épouse. [p-p 99-120]Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VII Deux jours avant Achoura, les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagné de chant berce le quartier. L’enfant, quant à lui, a droit à une longue trompette. Hammoussa, l’élève le plus petit de taille de l’école, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. Les élèves décorent le msid avec des lustres, besogne qui ne s’est terminée qu’avant le coucher du soleil. A la maison, la mère est ennuyée car elle n’a plus de pétrole pour la lampe. Driss El Aouad va en chercher dès que Rahma l’a mis au courant. Le lendemain, l’enfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed n’aime pas. Les enfants jouent de leurs instruments et les femmes les admirent et les encouragent. On assiste ensuite à une scène rapide de douche non son violence dont le héros n’est autre que Sidi Mohammed. A trois heures du matin, Lalla Zoubida réveille son fils, difficilement, il quitte son lit pour aller fêter Achoura avec les camarades au msid. Une certaine atmosphère de joie et de beauté enveloppe le msid et tout le quartier. Lalla Aïcha vient rendre visite à la mère, et le soir, après son départ, le narrateur ouvre sa Boîte à Merveilles, mais il est trop fatigué pour se livrer à ses jeux. [p-p 121-150] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre VIII C’est le retour de la monotonie après les journées agitées d’Achoura. Avec les premiers jours de chaleur, certains changements de disposition des meubles ont lieu à la maison, et, les journées devenant plus longues, le msid est installé dans un sanctuaire deux pas plus loin, quêtant de la fraîcheur. La mémoire de Sidi Mohammed devient plus forte, il apprend ses lignes sans difficultés. Il se trace un programme jusqu’au déjeuner il apprend avec ferveur ses versets, et l’après-midi, en faisant semblant d’apprendre, il donne libre cours à ses rêves où il se voit tantôt petit prince, tantôt l’homme qu’il souhaite devenir plus tard. Un lundi, le père vient déjeuner à la maison, il annonce à la mère qu’il veut lui acheter les bracelets soleil et lune qu’elle désirait. Toute la petite famille ira donc au souk. Après la prière de l’Aasser, le père vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Au souk, le père se dispute avec un dellal. La mère, l’enfant et la voisine reviennent à la maison pour attendre et pour pleurer. Le soir, le père arrive avec les bracelets, mais la mère refuse de les prendre au début, avant de les tenir enfin sans les regarder face à l'insistance du père. La nuit du narrateur est pleine de cauchemars, le lendemain matin, sa mère pense qu’il est malade, il doit donc rester au lit. Lalla Aïcha vient rendre visite à Lalla Zoubida après le départ du père. Elle annonce à son amie que Moulay Larbi, son mari, a épousé la fille du coiffeur Abderrahman. L’enfant devient vraiment malade, sa mère est folle de peur. [p-p 151-172] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre IX L’enfant, souffrant de fièvre, ne se réveille que le lendemain soir, et malgré sa faim il ne peut rien manger. Les voisines proposent chacune un remède. Si Abdeslam arrive plus tôt que d’habitude, la mère prépare la table pour le diner, mais personne ne mange. Quand elle revient avec le plateau pour le thé, elle trouve que le père se prépare déjà pour aller dormir. Il lui annonce qu’il avait perdu tout son capital dans la cohue des enchères aux haïks, il décide alors de voyager pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. Il compte vendre les bracelets que la mère n’a pas aimés, croyant qu’ils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison pour laisser de l’argent à sa famille pendant son absence qui durera un mois. Le surlendemain à l’aube, le père quitte sa maison. Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla Aïcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scène du marchand coléreux, et le dialogue à propos du bureau des chrétiens. Il décrit également la maison de Lalla Aïcha qui parait maintenant un lieu bien misérable. Les deux femmes s’apprêtent pour aller visiter le voyant aveugle Sidi El Arafi. [p-p 173-198] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre X Les deux femmes et l’enfant arrivent chez Sidi El Arafi grâce aux renseignements des gens de son quartier. Après être passés par des pavés mal ajustés, un couloir sombre, des escaliers… ils finissent par trouver la chambre du voyant. On lit donc une description de Sidi El Arafi, de sa femme et de sa chambre. Le panier du voyant rappelle à l’enfant sa Boîte à Merveilles. De ce panier, exécutant l’ordre du voyant, Sidi Mohammed sort un objet sans le regarder c’est une boule de verre, de la grosseur d’un œuf. Lalla Aïcha, quant à elle, sort un petit coquillage qu’elle remet à Sidi El Arafi, son discours la fait pleurer. Tout le monde récite la fatiha. Arrive ensuite le tour de la mère elle sort une perle noire à dessins multicolores. L’homme aveugle conseille à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints de Dieu qui veillent sur la ville. Enfin, les trois visiteurs quittent la chambre de Sidi El Arafi, accompagnés des vœux de cet homme saint. Aussitôt dans la rue, l’enfant repense aux propos du voyant, tout-à -coup il court se cacher dans les plis du haïk de sa mère, il a vu passer le fqih du msid. Dès le lendemain, le héros n’irait plus au msid durant l’absence du père, il est malade, et sa mère souffre de la solitude. Lalla Zoubida décide d’emmener l’enfant chaque semaine prier sous la coupole d’un Saint. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de l’argent et quelques nouvelles, c’est le messager de Si Abdeslam. Lalla Aïcha vient chez la mère pour une visite rapide, elle l’invite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui réserve une surprise ! [p-p 199-221] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XI Quand l’enfant et sa mère sont arrivés chez Lalla Aïcha, cette dernière était occupée de chasser les mouches de sa chambre. Après un bon moment, un dialogue commence enfin entre les femmes, il sera interrompu par une voix d’homme, mais ce n’est que Salama, la marieuse, c’est la surprise dont l’hôtesse a parlé la veille en invitant son amie Zoubida, elle a beacoup de nouvelles à raconter. Le narrateur rapporte le récit de Salama, comment Moulay Larbi l’avait chargée de lui trouver une seconde épouse. Ensuite, la scène de la femme étrangère qui a grondé Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Le récit de Salama reprend, elle parle des difficultés de Moulay Larbi et de ses problèmes avec sa jeune épouse et sa mère. Une autre femme arrive pour demander de la menthe, c’est Zhor, elle rejoint le groupe des femmes et se met à leur dévoiler quelques détails sur l’histoire du malheureux Moulay Larbi. Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, l’enfant oublie le verre qu’il tenait à la main, le thé se répand sur ses genoux. [p-p 222-239] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Chapitre XII C’est un matin joyeux, les femmes de la maison, à tour de rôle, chantaient un couplet ou une cantilène. Un enfant frappe à la porte, c’est Allal El Yacoubi, un élève de l’école coranique, le fqih l’a envoyé prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derrière le lit, pris de panique. Aussitôt, Zineb, essouflée, appelle Zoubida, elle apporte une bonne nouvelle elle a vu le père du narrateur! Si Abdeslam ne tarde pas à prononcer la phrase coutumière N’y a-t-il personne, puis-je passer?». Dans leur chambre, l’enfant et sa mère attendent l’arrivée du père. Installé sur les genoux de son père, Sidi Mohammed raconte les événements qu’ils ont vécus pendant son absence, à sa manière. La mère ne cesse d’intervenir pour rectifier. Les femmes, pour manifester leur joie, poussent des you-you et formulent des vœux. Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le père, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé la veille. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt à sa Boîte à Merveilles où toutes ses figures de rêve l’attendent. [p-p 240-249] Ceci est un résumé, avez-vous bien lu ce chapitre? Nous vous invitons à lire également
Le jeune Candide, dont le nom traduit à la fois la naïveté et la crédulité vit dans le "meilleur des mondes possibles" chez son oncle, le baron de naturel, Candide mène une existence heureuse dans cet univers idyllique Le baron et la baronne de Thunder-ten-Tronckh possèdent en effet "le plus beau des châteaux". Candide est ébloui par la puissance de son oncle, et par les sophismes lénifiants du docteur Pangloss, le précepteur. Il admire également Cunégonde, la fille du baron. Tout bascule le jour des premiers ébats de Candide et de Cunégonde. La réaction du baron est brutale, Candide est banni et chassé de cet Eden. Il se retrouve dans "le vaste monde".Candide est pris dans une tempête de neige et connaît la faim et le froid. Il est enrôlé de force comme soldat de l'armée bulgare. I prend la fuite. Capturé, il est condamné à recevoir quatre mille coups de bâton. Il échappe de justesse à la mort. Il assiste alors à la guerre et à ses massacres c'est "une boucherie héroïque". Candide déserte et fuit jusqu'en Hollande. Il y découvre l'intolérance, et notamment l'hypocrisie sectaire d'un prédicateur huguenot. Il retrouve Pangloss rongé par la vérole. Son ancien précepteur a des allures de gueux. Il lui apprend que le beau château du baron Thunder-ten-Tronckh a été détruit et que Cunégonde a été violée et éventrée par les soldats bulgares. L'armée bulgare a également tué le baron, la baronne et leur fils. Candide et Pangloss sont recueillis et embauchés par Jacques, un bon anabaptiste qui les emmène au Portugal où le réclame son commerce. Hélas, au large de Lisbonne, leur navire connaît une horrible tempête. Le bateau du généreux négociant est englouti et ce dernier périt dans le naufrage. Candide et Pangloss en réchappent par miracle. Dès leur arrivée à Lisbonne, se produit un épouvantable tremblement de terre. Candide et Pangloss participent eux opérations de sauvetage, mais nos deux héros sont arrêtés pour propos subversifs et déférés à l'Inquisition. Pangloss est pendu et Candide flagellé. Une vieille dame le soigne et le mène de nuit dans une maison isolée. Il est présenté à une superbe femme Cunégonde. Elle lui confirme qu'elle a été violée et éventrée, et que c'est par miracle qu'elle est encore en vie "on ne meurt pas toujours de ces deux accidents". Cunégonde est devenue à la fois la maîtresse de Don Issachar, un banquier juif et du grand inquisiteur de Lisbonne. Menacé par ses deux rivaux, "le doux Candide", parvient à les tuer. Candide, Cunégonde et la vieille dame s'enfuient alors en direction de Cadix. Ils arrivent à Cadix au moment où un bateau s'apprête à partir en Amérique latine. Son équipage est chargé d'aller y combattre la rébellion qui règne contre les rois d'Espagne et du Portugal. Candide parvient à se faire engager. Il embarque avec Cunégonde, la vieille dame et deux valets. Lors de la traversée, la vieille dame raconte son aventure. Fille d'un pape et d'une princesse, elle a grandi " en beauté, en grâces, en talents, au milieu des plaisirs, des respects et des espérances..." Puis elle a connu une suite épouvantable de malheurs l'empoisonnement de son fiancé, l'enlèvement de sa mère, sa vente à des marchands d'esclaves. Elle s'est retrouvée prisonnière dans un fort, puis elle est devenue l'esclave d'un seigneur moscovite qui l'a batttue. Elle finira par devenir la servante de Don Issachar qui la met à disposition de Cunégonde à qui elle se à ce récit, la vieille dame demande aux autres passagers de raconter leur histoire. Les récits s'enchaînent, plus noirs les uns que les autres. Candide commence à prendre conscience que le mal existe sur cette peine arrivés à Buenos Aires, Candide et Cunégonde sont à nouveau séparés. La vielle dame conseille en effet à Cunégonde de rester auprès du gouverneur qui s'est épris d'elle et à Candide de fuir l'Inquisition qui a retrouvé sa trace. Candide part avec son valet Cacambo se réfugier chez les jésuites du Paraguay. Ils y retrouvent le frère de Cunégonde, lui aussi miraculeusement rescapé. Le baron évoque son miracle Alors qu'on allait l'enterrer, le battement de sa paupière l'a sauvé. On l'a soigné et guéri. Sa beauté, fort appréciée, lui a valu une grande fortune. Mais le jeune baron refuse qu'un bâtard puisse épouser sa sœur et frappe Candide du plat de son épée. Celui-ci se défend et le tue d'un coup d' et Cacambo reprennent la fuite et se retrouvent dans un pays inconnu. Il sont faits prisonniers par les indigènes et sont à deux doigts d'être mangés. Ils ne doivent leur salut qu'à la verve et à l'habileté de Cacambo. Ils sont se dirigent alors vers Cayenne, à la recherche de la colonie française. Ils souffrent de la faim. Un jour, ils découvrent un canot sur une rivière. Ils montent à bord et se laissent porter par le courant. Le canot emprunte une voûte secrète. Candide et Cacambo se retrouvent sous terre, dans une magnifique contrée, l'Eldorado, "le pays où tout va bien" un pays où les repas sont délicieux, les mœurs pacifiques, la population heureuse , la religion tolérante et le souverain humaniste. Mais nos héros sont trop vaniteux pour se satisfaire de cet univers idéal. Ils souhaitent revenir en Europe avec l'espoir d'éblouir Cunégonde et le monde entier de leur récit et de leur richesse. Le souverain du royaume en effet les laisse partir avec cent moutons chargés de nourriture, de pierres précieuses et d'or. Il les met aussi en garde le bonheur ne se trouve ni dans les pierres précieuses ni dans l' et Cacambo retrouvent le monde. Pendant plus de trois mois, ils marchent dans les marais, les déserts et au bord des précipices. Leurs moutons meurent les uns après les autres. Lorsqu'ils arrivent à Surinam, ils n'ont plus que deux moutons. Ils rencontrent alors un esclave noir atrocement mutilé. Ceci révolte Candide et l'amène à donner une autre définition de l'optimisme " la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal".Nos deux héros se séparent Candide envoie Cacambo racheter Cunégonde au gouverneur de Buenos Aires , tandis qu'il ira l'attendre à Venise. Mais Candide se fait duper et voler par un marchand qui lui prend ses deux derniers moutons et s'embarque pour Venise sans l'attendre. Il parvient finalement à trouver un vaisseau en partance pour Bordeaux et s'embarque en compagnie d'un pauvre savant persécuté à qui il paye son voyage. Il a l'espoir que ce compagnon puisse le "désennuyer" durant le le bateau qui les emmène à Bordeaux Candide et Martin, le savant discutent du bien et du mal et de la nature de l'homme. Martin lui indique qu'il est convaincu de la prédominance du Mal sur le Bien . Et comme pour illustrer son propos, ils assistent un combat entre un navire espagnol et un vaisseau hollandais . Ce dernier coule et une centaine d'hommes se noient. Ce combat est pour Martin l'illustration des rapports humains de la façon dont " les hommes se traitent les uns les autres."Après son arrivée à Bordeaux, Candide préfère se rendre à Paris qu'à Venise. Il n'y connaît qu'amertume et déception un abbé retors et de fausses marquises et une fausse Cunégonde qui se révèlent être de vraies voleuses . Il se fait même injustement arrêter et ne parvient à s'enfuir qu'en soudoyant un officier de embarque alors en compagnie de Martin pour l'Angleterre. Il assiste à l'exécution d'un amiral condamné pour " n'avoir pas fait tuer assez de monde." Finalement, il refuse de débarquer en Angleterre et demande au capitaine du bateau de l'emmener directement à Venise, il ne retrouve ni Cacambo, ni Cunégonde mais tombe sur Paquette, l'ancienne suivante de la Baronne de Thunder-ten-Tronckh. Elle vit en compagnie d'un moine, Giroflée. Ses confidences et celles du moine font apparaître à Candide des misères cachées. Candide décide alors de rendre visite au seigneur Pococurante qui a la réputation de n'avoir jamais eu de jeune héros s'émerveille de l'univers et de la personnalité de son hôte. Pourtant celui-ci évoque a demi-mot le dégoût et la lassitude du blasé. Candide ressort pourtant de cet entretien avec l'impression que le seigneur Pococurante est "le plus heureux de tous les hommes", car affranchi des biens matériels. Martin, lui, est plus pessimiste, il estime que ce seigneur est écœuré de tout ce qu'il milieu d'un souper de carnaval, alors que Candide dîne avec six malheureux anciens rois qui ont perdu leur royaume, il retrouve Cacambo qui est devenu esclave. Il lui apprend que Cunégonde l'attend sur les bords de la Propontide, près de Constantinople. Elle aussi est devenue esclave et est devenue très laide. Candide se rend à Constantinople . Sur la galère, il croit reconnaître parmi les galériens le docteur Pangloss et le jeune baron tous deux mal tués. Il les rachète au capitaine du deux anciens galériens racontent leurs aventures, mais le récit de leur malheurs ne perturbe pas Candide qui est toujours convaincu que " tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes."Candide retrouve Cunégonde, et il est saisi d'horreur à la vue de cette femme hideuse et défigurée. Il la rachète ainsi que la vieille femme. Il ne l'aime plus, mais l'épouse " par bonté" malgré le refus répété de son se débarrasse du jeune baron en le renvoyant aux galères . il achète avec ses derniers diamants une modeste métairie où viennent se réfugier Paquette , le frère Giroflée, Pangloss, Martin, Cunégonde et Candide. Un sage vieillard leur conseille le travail qui "éloigne de nous trois grand maux, l'ennui , le vice et le besoin".Candide en arrive à cette conclusion qui recueille l'assentiment de tous ses compagnons " il faut cultiver son jardin."Quelques Citations de CandidePangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu'il n'y a point d'effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles. Les malheurs particuliers font le bien général; de sorte que plus il y a de malheurs particuliers et plus tout est bien. Tout est bien, tout va bien, tout va le mieux qu'il soit possible Je n'ai que vingt arpents, répondit le Turc ; je les cultive avec mes enfants ; le travail éloigne de nous trois grands maux l'ennui, le vice, et le besoin. " Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c'est le seul moyen de rendre la vie supportable. Toute la petite société entra dans ce louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide " Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas été chassé d'un beau château à grands coups de pied dans le derrière pour l'amour de Mlle Cunégonde, si vous n'aviez pas été mis à l'Inquisition, si vous n'aviez pas couru l'Amérique à pied, si vous n'aviez pas donné un bon coup d'épée au baron, si vous n'aviez pas perdu tous vos moutons du bon pays d'Eldorado, vous ne mangeriez pas ici des cédrats confits et des pistaches. - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin
25 novembre 2012 7 25 /11 /novembre /2012 1500 Titre Contes de la Bécasse Auteur Guy de Maupassant Édition Gallimard 1974 Livre de poche Genre nouvelles Thème principal Regroupement de personnes pour raconter des histoires 16 nouvelles parmi lesquelles La Rempailleuse », Aux Champs », … Résumé c'est l'histoire d'un vieux baron des Ravots qui est paralysé qui ne pouvait plus chasser, il ne pouvait que tirer des pigeons de la fenêtre de son salon ou du haut de son grand perron et le reste du temps il lisait. Au moment des chasses à l'automne il invitait tous les chasseurs d'à côté au conte de la bécasse », rituel où chaque convive mange une bécasse, puis donne au baron la tête de la bécasse, celui-ci la met sur le goulot d'une bouteille et la fait tourner jusqu'à ce que le bec désigne le gagnant qui aura le plaisir de manger les têtes et de raconter une histoire. Passage s remarquables P 116 "Aux Champs" "Vous voulez que j'vous vendions Charlot? Ah! mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère ça! Ah! Mais non ! Ce serait abomination. […] La paysanne, exaspérée, lui coupa la parole C'est tout vu, c’est tout entendu, c’est tout réfléchi.....Aller- vous- en, et pi, que j'vous revoie point par ici. C'est ti permis d'vouloir prendre un éfant comme ça! » Commentaires sur ces passagess Quand j'ai lu ces passage haute voix et avec le ton j'ai rigolé surtout sur le langage des paysans , ces passage là sont très amusants . Critique personnelle Ce livre-là m’a vraiment plu surtout le conte Aux champs », pour moi je lui mettrais un 8/10. Je le recommande. Titouan, 4C, novembre 2012 Auteur Maupassant. Titre Contes de la bécasse, La bécasse ». Edition Albin Michel. Date 1984. Collection Le livre de poche. Genre Recueil de contes, nouvelles. Thème principal Le thème principal est un chasseur qui a chassé pendant de longues années devient paralysé des deux jambes et ne peut plus exercer son activité. Ce chasseur est un baron. Il aime aussi inviter quelques-uns de ses amis chasseurs pour manger de la bécasse et pour se raconter des histoires de chasse. Le sujet C’est l’histoire d’un vieux baron qui pendant quarante ans avait été le roi des chasseurs de sa province mais depuis cinq ou six années, il était paralysé des deux jambes, il ne pouvait tirer que les pigeons ou d’autres oiseaux de sa fenêtre. Il avait un valet qui lui tenait et rechargeait ses armes, un autre valet était caché derrière les arbres et lâchait de temps en temps des pigeons. Même si le vieux baron ne pouvait plus chasser, il invitait des amis chasseurs pour qu’ils lui racontent leurs exploits de la journée. Les soirs de ces réunions, au dîner, ils mangeaient toujours de la bécasse, ils gardaient les tête pour en faire des chandeliers. Ils désignaient un invité qui devait croquer le crâne. Puis une fois leur repas terminé ils devaient conter une histoire comme Le cochon de Morin », La folle », Pierrot », Menuet », La peur », Farce normande », Les sabots », La rempailleuse », En mer », Un normand », Le testament », Aux champs », Un coq chanta », Un fils », Saint-Antoine » , L’aventure de Walter Schnaffs ». Choix d’un passage remarquable d’une dizaine de lignes Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le conte de la bécasse ».Au moment du passage de cette reine des gibiers, la même cérémonie recommençait à chaque dîner. Comme il adorait L’incomparable oiseau, on en mangeait tous les soirs, un par convive ; mais on avait soin de laisser dans un plat toutes les têtes. Alors le baron, officiant comme un évêque, se faisait apporter sur une assiette un peu de graisse, oignait avec soin les têtes précieuses en les tenant par le bout de la mince aiguille qui leur sert de bec. Une chandelle allumée était posée près de lui, et tout le monde se taisait, dans l’anxiété de l’attente. » J’ai choisi ce passage car je trouve qu’il a de l’importance dans le texte, il nous montre pourquoi on a appelé la nouvelle la bécasse ». Donc le titre va bien au livre. Jugement critique personnel J’ai aimé cette nouvelle car elle n’est pas très longue à lire, son titre va bien avec son texte, elle est facilement lisible. Je conseille ce livre à tous les lecteurs qui aiment lire peu. Emma D, 4 A, février 2013 Titre Contes de la bécasse Auteur Guy De Maupassant Edition Le livre de poche. Nouvelle présentée La folle. Résumé. La folle C’est une vielle femme, une espèce de folle qui s’est égarée sous le coup du malheur car elle a perdu en un seul mois son père, son mari et son fils. Il y avait une bonne qui restait à côté d’elle pour la faire boire et manger, elle ne voulait que rester coucher dans son lit. Pendant quinze années ce fut comme ça jusqu’à ce que la guerre vint. Un officier s’intéressa à sa maladie il voulut lui parler et, voyant qu’elle ne lui répondait pas et qu’elle ne voulait pas sortir, il se vexa et il la fit porter avec son lit au milieu des bois où elle mourut de froid et de faim. Mon passage remarquable est le passage de la page 31 Quand la mort est entrée une fois dans une maison, elle y revient presque toujours immédiatement, comme si elle connaissait la porte. » Jugement critique personnel C’est une triste histoire. Mais je l’ai bien aimée. Laetitia, 4A, mars 2013 Nom de l'auteur De Maupassant Prénom de l'auteur Guy Titre du recueil Contes de la Bécasse Édition Albin Michel Collection Le livre de poche Titres des nouvelles qui contient ce recueil La Bécasse, Ce cochon de Morin, La folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce normande , Les sabots, La rempailleuse, En mer, Un normand, Le testament, Aux champs, Un coq chanta, St-Antoine, L'aventure de Walter Schnaffs, 17 nouvelles. Abécédaire des mots clés de ce recueil avec citation +N° de la page de ces citations A abomination Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère çà ! Ah mais non ! Ce serait une abomination.» Aux champs B Bonne femme la bonne femme pleurait dans son assiette » Aux champs C Cochon Pourquoi diable, n'ai-je jamais entendu parler de Morin sans qu'on le traitât de cochon» » Le cochon de Morin D Dame Madame Lefèvre était une dame de campagne, une veuve, une de ces demi-paysannes » Pierrot E Épouvantable peur Alors, pendant une heure, le chien hurla sans bouger, il hurla comme dans l'angoisse d'un rêve; et la peur, l’épouvantable peur entrait en moi.» La peur F Fille La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs G Garçon La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs H Homme La plus violente douleur qu'on puisse éprouver, certes, est la perte d'un enfant pour une mère, et la perte d'une mère pour un homme.» Menuet I Inquièter En voilà un qui les exécute facilement et qui les lâche sans remords, et qui ne s'en inquète guère.» Un fils J Jeune femme La jeune femme reprit - Il faut que je les embrasse ! Oh ! Comme je voudrais en avoir un, celui-là , le tout petit.» Aux champs K ? L La peur Mais la peur, ce n'est pas cela. Je l'ai pressentie en Afrique. » M Mère Vous voulez que j'vous vendions Charlot ? Ah ! Mais non ; c'est pas des choses qu'on d'mande à une mère, ça ! » Aux champs N Not' maître Me... not' maître... Il hurlait J'aime pas manger tout seule, nom de D...» Les sabots O Oncle L'oncle, M. Tonnelet, était justement un abonné du Fanal, un fervent coreligionnaire politique qui nous reçut à bras ouverts » Ce cochon de Morin P Père Tuvache Alors père Tuvache articula d'un ton coléreux Vas-tu pas nous r'procher d' t’avoir gardé ? » Aux champs Q? R Rolleport La première des deux demeures, en venant de la station d'eau de Rolleport3, était occupée par les Tuvache qui avaient trois filles et un garçon; et l'autre masure abritait les Vallin, qui avaient trois garçons et une fille.» Aux champs S Saint-Antoine Lorsque arriva l'invasion prussien, Saint-Antoine, au cabaret, promettait de manger une armée » Saint-Antoine T Tuvache Les Tuvache, sur leur porte, le regardaient partir, muets, sévères, regrettant peut-être leur refus. » Aux champs U? V Vieille mère La vieille mère lavait ses tabliers; le père infirme , sommeillait près de l'âtre » Aux champs W Walter Schnaffs Walter Schnaffs se jugeait le plus malheureux des Hommes. » Les aventures de Walter Schnaffs X? Y? Z? Point de vue sur le livre J'ai bien aimé ce livre, car les histoires se passent en Normandie, ma région préférée et les nouvelles sont intéressantes et drôles. Baptiste W, 4B 15/10/2014 Titre du recueil Les Contes de la Bécasse Edition Albin Michel Collection Le livre de poche Titre des Nouvelles que contient ce recueil La Bécasse, Ce cochon de Morin, La Folle, Pierrot, Menuet, La peur, Farce Normande, Les Sabots, La Rempailleuse, En Mer, Un Normand, Le Testament, Aux Champs, Un coq chanta, Un fils, Saint Antoine, L’aventure de Walter Schnaffs Abécédaire A – Automne A l’automne, au moment des chasses, il invitait, comme à l’ancien temps, ses amis, et il aimait entendre au loin les détonations ». Page 8, La Bécasse. B – Bécasse Mais il existait dans la maison une vieille coutume, appelée le conte de la bécasse » Page 9, La Bécasse. C – Cochon Ca, mon ami, dis je à Labarbe, tu viens encore de prononcer ces quatre mots-ce cochon de Morin ». Page 15, Ce cochon de Morin. D – Dévorait Morin la dévorait des yeux ». Page 17, Ce cochon de Morin. E – Enfant Jadis, à l’âge de vingt cinq ans, elle avait perdu, en un seul mois, son père, son mari, et son enfant nouveau-né ». Page 39, La Folle. F – Folle On ne revit plus la folle ». Page 43, La Folle. G – Gendarme Le Gendarme présent arrêta Morin ». Page 20, Ce cochon de Morin. H – Hautain Alors elle, qui n’avait point dormi, regardant cet homme dépeigné, aux yeux rouges, à la lèvre épaisse, répondit, du ton hautain dont elle parlait à son mari ». Page 195, Un coq Chanta. I – Instruction Et il savait interroger à la façon du juge d’Instruction ». Page 7, La Bécasse. J – Jadis Oui, Monsieur, c’est un vrai temps de jadis ». Page 68, Conte de La Bécasse. K – ? L – Livide Nous restions immobiles, livides, dans l’attente d’un événement affreux, l’oreille tendue, le cœur battant, bouleversés au moindre bruit ». Page 85, La Peur. M – Marmaille Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir ». Page 174, Aux Champs. N – Noblesse C’étaient sans cesse des fêtes, des chasses, des plaisirs nouveaux auxquels il invitait la noblesse des châteaux environnants. » Page 188, Contes de la Bécasse. O –.Orateur Toutes les cinq minutes un nouvel orateur prononçait J’entends Birr !Birr ! » et une compagnie magnifique me part à dix pas. ». Page 9, La Bécasse. P – Prussiens Dans les premiers jours de décembre, les prussiens pénétrèrent à Cormeil ». Page 40, La Folle. Q – Quai Tu as connu Morin, n’est ce pas, et tu te rappelles son grand magasin de mercerie sur le quai de la Rochelle ? ». Page 15, Ce Cochon de Morin. R – Rempailleuse Son père était rempailleur et sa mère rempailleuse ». Page120, La Rempailleuse. S – Soldat Deux heures plus tard les soldats revinrent tout seuls ». Page 43, La Folle. T – Tuvache La première des deux demeures, en venant de la station d’eau de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avait une fille et trois garçons ». Page 174, Aux Champs. U – ? V – Voisin Non, c’est aux voisins ; vous pouvez y allez si vous voulez. » Page 178, Aux Champs. W – WALTER Walters Schnaffs se jugeait le plus malheureux des hommes ». Page 239, L’Aventure de Walter Schnaffs. X –Y –Z – ? Anne B. 4B 16/10/2014 Nom puis prénom de l’auteur Guy de Maupassant. Titre du recueil Contes de la bécasse. Collection Classique Français Édition Maxi Poche. Titres des nouvelles que contient ce recueil La Bécasse , Ce cochon de Morin , La Folle , Pierrot , Menuet , La Peur , Farce normande , Les Sabots , La Rempailleuse , En mer , Un Normand , Le Testament , Aux Champs , Un coq chanta , Un Fils , Saint-Antoine , L'aventure de Walter Schnaffs. Abécédaire des mots clés de ce recueil A. Adorait il adorait les contes, les petits contes polissons, et aussi les histoires vraies arrivées dans son entourage .page11, La Bécasse Une belle jeune fille vint nous ouvrir. Page 20, Ce cochon de Morin C. Cormeil Vous connaissez ma propriété dans le faubourg de Cormeil. Page31, La Folle on volait dans le pays, puis on pouvait revenir. page37, Pierrot E. elle Elle est très vieille, mais vive comme d'hier. page46, Menuet F. fichtre fichtre ! Je vous réponds bien que j'ai eu peur, moi. » page52,La peur G. gars Le marié était beau gars, Jean Patu, le plus riche fermier du pays. Page59, Face Normande H. honnête -M. Césaire Omont voudrait bien trouver une jeune fille honnête comme servante. » page 66, Les sabots en est des amoureux comme des ivrognes. page74,La rempailleuse J. Javel Javel aîné était alors patron d'un chalutier. page83, En mer n'y a pas de mots commençant par k dans le conte Un Normand L. liés Cet homme me plaisant tout à fait, nous fûmes bientôt liés. Page 99, Le testament M. marmaille Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. page105, Aux champs Ne m'avez- vous point donné l'ordre d'abattre moi-même l'animal ? »page115, Un coq chanta O. on Dans tout métier on fait la part des profits et pertes. Page121, Un fils P. pénétrer Le Normand malin le pénétra tout de suite, et, rassuré, lui fit signe de s'asseoir. Page 134 , Saint-Antoine donc les nourrirait et les élèverait ? page146, L'aventure de Walter Schnaffs. R. récits Voici quelques-uns de ces récits page13,La bécasse S. suffirait Il me suffirait peut-être d'être audacieux. page16, Ce cochon de Morin T. tenez Tenez, dit M. Mathieu d'Endolin, les bécasses me rappellent une bien sinistre anecdote de la guerre. n'y a pas de mots commençant par u dans le conte de Pierrot V. venir Je venais là presque tous les matins. Page 47,Menuet W. wagon Quand elle eut fait ses adieux à la vieille, elle entra dans la salle d'attente, et Morin la suivit; puis elle passa sur le quai, et Morin la suivit encore; puis elle monta dans un wagon vide, et Morin la suivit toujours. page16, Ce cochon de Morin n'y a pas de mots commençant par x dans le conte de Farce Normande n'y a pas de mots commençant par Y dans le conte de Les sabots n'y a pas de mots commençant par Z dans le conte de La rempailleuse mon avis j'ai trouvé qu'il y a beaucoup d'amour dans chaque conte de ce livre et de la tristesse. J'ai bien aimé ce livre. Flora R 4B le 16 octobre 2014
Après l'analyse de Candide, voici un résumé de l'oeuvre. CANDIDE – Résumé chapitre par chapitre Chapitre 1. Le récit a lieu au château du baron de thunder-ten-tronckh en Allemagne. Candide, un jeune homme dont la naissance est suspecte, sans richesse, est l’élève du philosophe Pangloss, indéfectible optimiste croyant en la perfection du monde. Candide tombe amoureux de Cunégonde, la fille du baron, provoquant son éviction du Château. Chapitre 2. Candide est forcé de rejoindre l'armée bulgare. Il tente de s’échapper et est fouetté pour désertion. Chapitre 3. Guerre entre les Bulgares et les Arabes. Candide se cache pendant la bataille, puis s'enfuit. Sans ressources et affamé, il est contraint de quémander sa nourriture. Jacques, en bon anabaptiste, le nourrit, lui donne un logement et un emploi. Chapitre 4. Candide rencontre Pangloss, lequel est atteint de syphilis et apprend à Candide que Cunégonde a été violée. Jacques paie la guérison de Pangloss. Tous trois partent pour Lisbonne. Chapitre 5. Jacques tombe à la mer pendant le voyage. Pangloss retient Candide de porter secours à Jacques, arguant que c’est la volonté de Dieu qu’il se noie. Ils arrivent au Portugal juste après le grand séisme. Chapitre 6. Pangloss et Candide sont arrêtés par l'Inquisition. Pangloss est pendu et Candide est fouetté lors d’un autodafé qui est censée prévenir les futurs séismes. Chapitre 7. Une vieille femme aide Candide à retrouver Cunégonde, qui a survécue à son viol. Chapitre 8. Cunégonde raconte à Candide sa terrible histoire et la manière dont elle appartient à Don Issachar et le Grand Inquisiteur. Chapitre 9. Candide tue Don Issachar et le Grand Inquisiteur pour venger Cunégonde, puis fuit le Portugal. Chapitre 10. Candide, Cunégonde et la Vieille s'enfuient vers l'Amérique du Sud. Chapitres 11-12. La vieille femme raconte son histoire à Candide et à Cunégonde. Chapitre 13. Le gouverneur de Buenos Aires demande Cunégonde en mariage et ordonne l’arrestation de Candide. Chapitre 14-15. Candide et Cacambo, son serviteur, fuient vers le Paraguay. Chapitre 16. Candide et Cacambo rencontrent les jeunes filles autochtones. Chapitre 17. Candide et Cacambo arrivent à l'Eldorado. Chapitre 18. Un vieil homme présente Eldorado comme un monde merveilleux à Candide, mais il préfère tenter de retrouver Cunégonde. Chapitre 19. Au Surinam, Candide rencontre Martin, un nègre mutilé. Candide pleure et renonce à son optimisme. Candide envoie Cacambo à la recherche de Cunégonde. Martin remporte la palme de la misère. Chapitre 20. Candide et Martin partent pour la France. Martin est un pessimiste total – il pense que Dieu a abandonné le monde au mal absolu. Chapitre 21. Candide et Martin discutent de la corruption morale des Français. Chapitre 22. En France, Candide est courtisé pour ses richesses ramenées de l’Eldorado. Chapitre 23. Candide et Martin passent par l'Angleterre, et assiste à l’exécution d’un militaire, accusé de ne pas tuer suffisamment d'ennemis. Chapitre 24-25. À Venise, Candide rencontre Paquette la maîtresse de Pangloss au château du baron, responsable de la siphylis contractée par Pangloss et Giroflée, son amant, un moine. Chapitre 26. Cacambo réapparaît – il est un esclave maintenant. Cacambo raconte à Candide que Cunégonde est à Constantinople. Chapitre 27. Candide libère Cacambo et part avec lui à Constantinople. Chapitre 28. Pangloss raconte son histoire, malheureuse, mais son optimisme résiste. Chapitre 29. Candide retrouve Cunégonde, désormais laide. Il libère Cunégonde et la vieille femme. Mais le baron refuse toujours de donner la main de Cunégonde à Candide. Chapitre 30. Candide se débarrasse du baron puis il épouse Cunégonde. Puis il rencontre un Turc qui le convainc de l’inutilité de la philosophie.
contes de la bécasse résumé de chaque chapitre